100 ans à vos côtés, partout où l’envie d’apprendre rencontre le besoin d’agir.
Les visages du changement
Apprenants, managers, talents venus d’Europe, d’Asie ou d’Amérique latine.
Ce qui les relie n’est pas un métier ou un pays, mais un moment de bascule : un apprentissage qui a transformé leur manière d’agir.

Bérengère - 44 ans, France
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Aurélie - 18 ans, Angleterre
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Lorenzo - 26 ans, Italie
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Regarder loin, agir près


100 ans d'impact
Depuis 1926, Cegos a contribué à structurer des méthodes, diffuser des savoirs,
accompagner des transformations majeures dans les entreprises et les secteurs.

Les échanges d’expériences : une méthode fondatrice de l’ADN Cegos
Dès 1929, Jean Milhaud rapporte des États-Unis une méthode encore inconnue en France : l’échange d’expériences, une pratique qui devient immédiatement la signature de Cegos. Il résume l’esprit de cette démarche par une formule devenue emblématique :
« Dans un groupe de vingt personnes qui échangent sincèrement leurs expériences, si chacun abandonne un prétendu secret, il s’enrichit de dix-neuf expériences. » Cette dynamique collaborative tranche avec la « culture du secret » qui dominait alors les entreprises françaises. Cegos en fait un moteur de transformation. Dès 1930, elle ouvre ses premières sections d’études où petites et grandes entreprises – comme L’Oréal, venue présenter ses pratiques d’association des salariés aux bénéfices – confrontent leurs méthodes. Pour Milhaud, « sortir un homme de son métier et lui faire saisir ce qui se passe ailleurs… c’est la meilleure cure contre les excès de l’individualisme ».

L’innovation « utile » : l’expertise Cegos au service de la performance
La deuxième force structurante de Cegos est la place centrale accordée à l’innovation, à l’ingénierie des méthodes et aux études. Cette exigence s’incarne dès 1927 dans l’étude sur le calcul du prix de revient, menée par l’ingénieur Émile Rimailho. Publiée en 1937, cette méthode devient un véritable « manifeste » industriel qui influence profondément les entreprises françaises et les pouvoirs publics. Auguste Detœuf, fondateur d’Alstom et président de Cegos à l’époque, résume l’enjeu : « Abaisser le prix de revient par une meilleure organisation […], cela est fort bien. Mais d’abord faut-il connaître ce prix de revient. » En apportant une méthode immédiatement opérationnelle, Cegos se positionne alors comme un référent méthodologique incontournable et se met à développer son activité de formationauprès des entreprises.
Qu’il s’agisse de digitalisation, de transformation managériale ou de RSE, Cegos conserve la même ligne directrice : innover seulement si l’innovation produit un impact, si elle améliore la performance, si elle renforce les compétences et les organisations. C’est cette exigence qui constitue encore aujourd’hui l’un des fondements de la force de Cegos.« Dans un groupe de vingt personnes qui échangent sincèrement leurs expériences, si chacun abandonne un prétendu secret, il s’enrichit de dix-neuf expériences. » Cette dynamique collaborative tranche avec la « culture du secret » qui dominait alors les entreprises françaises. Cegos en fait un moteur de transformation. Dès 1930, elle ouvre ses premières sections d’études où petites et grandes entreprises – comme L’Oréal, venue présenter ses pratiques d’association des salariés aux bénéfices – confrontent leurs méthodes. Pour Milhaud, « sortir un homme de son métier et lui faire saisir ce qui se passe ailleurs… c’est la meilleure cure contre les excès de l’individualisme ».

Le management : une idée importée en France par le président de Cegos en 1956
Cegos a joué un rôle déterminant dans l’introduction du concept de management en France. Lors des missions de productivité menées aux États-Unis dans les années 50, les ingénieurs-conseil de Cegos – Octave Gélinier, Marcel Allain, Claude Charmont – découvrent un mode de direction inédit. Gélinier raconte son choc : le principe américain de « mettre les hommes devant des buts et non des règlements ». Il revient convaincu qu’un nouveau système doit être adapté à la réalité française. C’est ainsi qu’il bâtit ce qu’il nomme un « management à la française », qu’il diffusera notamment via son stage emblématique « L’art de diriger » (1956), devenu la « grande école des patrons». Les dirigeants formés – parmi lesquels Gérard Mulliez, Henri Dewavrin, Bernard Treizenine – joueront un rôle majeur dans l’économie française. Cette appropriation pionnière explique pourquoi Gélinier sera qualifié de « pape français du management », et pourquoi Cegos demeure aujourd’hui une référence historique sur ce terrain.
Aujourd’hui encore, Cegos demeure l’un des leaders mondiaux de la formation professionnelle dans le domaine du management. Ses équipes à travers le monde continuent de diffuser les nouvelles approches les plus performantes, qu’il s’agisse du management par les compétences, du leadership inclusif ou encore des modèles de transformation fondés sur l’intelligence collective.

L’ouverture internationale : un mouvement constant depuis les origines
L’esprit international de Cegos n’est pas une évolution récente : il s’inscrit dans sa trajectoire dès les années 50. Au-delà des voyages d’études aux États-Unis, Cegos devient rapidement un acteur structurant de la diffusion des méthodes d’organisation en Europe et dans le monde. Noël Pouderoux, en particulier, joue un rôle décisif en implantant des « petites Cegos » en Italie, Espagne, Portugal et en Espagne. Dans la même dynamique, Cegos ouvre des activités de coopération en Afrique du Nord et en Afrique francophone, accompagnant les jeunes États dans la structuration de leurs administrations et la formation des cadres, notamment au Maroc, en Tunisie, en Côte-d’Ivoire et au Congo. Cette dynamique d’expansion se renforce à partir des années 60, avec de nouvelles implantations en Allemagne, en Grande-Bretagne et en Suisse, puis s’étend progressivement hors d’Europe : Cegos s’installe en Chine dès 1997, crée Cegos Asia-Pacific à Singapour en 2012, ouvre une plateforme régionale au Chili en 2015, puis au Mexique en 2017. Plus récemment, l’acquisition de Crescimentum, numéro 1 des formations au leadership au Brésil en 2020, illustre la continuité de cette stratégie et confirme la place de Cegos comme acteur mondial du développement des compétences et du leadership.
Cette ouverture précoce permet à Cegos d’exporter son expertise, mais surtout de l’enrichir : un mouvement qui reste aujourd’hui au cœur de son identité et permet au groupe implanté de 12 pays d’accompagner les transformations et de former partout dans le monde.





