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Sommes-nous condamnés à succomber systématiquement aux mêmes risques d’un projet à l’autre ?
Cet objet au milieu de la rivière, le chef de projet et son équipe peuvent le percevoir comme une menace (redoutable prédateur) ou comme une opportunité (moyen de traverser la rivière plus facilement).
Il est bien des situations où il est difficile de savoir de quel côté penchera la balance, et les plus joueurs d’entre nous provoqueront l’événement comme on dégoupille une grenade, avec une incertitude totale sur les conséquences de ce geste.
Peut-on envisager d’autres options ? Dans certains cas, il est possible d’investir dans la qualification des risques, afin de bien calibrer leur probabilité de survenance, leur impact, et donc leur criticité (la criticité étant la combinaison des deux premiers paramètres, soit Criticité = Probabilité x Impact). Cette qualification peut prendre la forme d’une étude plus poussée, d’une simulation (par exemple : fabriquer un faux gnou, que l’on va déposer sur le « rondin », ou alors faire venir un zèbre, qui proposera un regard expert sur le sujet), et permettra de prendre une décision raisonnée par rapport au risque.
Mais bien souvent, nous apprendrons dans la douleur, en subissant le risque et les dégâts collatéraux qu’il occasionne sur notre projet. Se faire dévorer une fois, passe encore. Mais que l’ensemble du troupeau y passe, c’est cher payé.
Plusieurs solutions permettent à l’entreprise d’apprendre de ses erreurs :
Comme le disait Oscar Wilde : « l’expérience, c’est le nom que chacun donne à ses erreurs ». A condition de s’en rappeler !
Opération impossible